
Democratie Participative
En France, une révolution tripartisme déstabilise toutes les stratégies politiques.
Entre cette déstabilisation, un modèle épuisé par le professionnalisme politique et la monarchie politique, la Démocratie Participative doit s'imposer pour l’action civile perdue.
Ce tripartisme ne montre pas la montée de l’intolérance, le repli sur soi-même. Ce tripartisme est malheureusement la seule solution trouvée pour des millions de citoyens qui ne peuvent plus faire confiance à ce qu’ils subissent depuis des décennies.
Il faut entendre ceci, et comprendre les raisons.
Le réalisme de voir le pays perdre le contrôle tant financier, qu’humain. Le désir de crier sa voix ne montre qu’une seule alternative malheureuse aujourd’hui. C’est particulièrement cette dernière situation qu’il faut retenir.
La France le montre à chaque élection, elle n’a plus peur de virer de bord et ceci se confirme et s’affirme.
Des raisons si nombreuses qu’il ne faudrait en garder qu’une, le changement.
La Démocratie Participative permet à tout citoyen, s'il en ressent le besoin, de constituer une force de proposition. Des outils existent déjà dans d'autres pays. Il faut faire plus que semblant de tendre l’oreille. Constitutionnaliser le choix de chacun de pouvoir faire entendre sa participation.
Les tensions sont palpables. La grande raison provient de la frustration générale de n'avoir aucun moyen face à ce pouvoir du haut qui évolue dans sa propre sphère loin du réalisme et de l'efficacité.
Il n'est ni de droite ni de gauche de vouloir agir pour son pays. Le citoyen français se fiche d'être reconnu dans la rue. La société civile n'est pas tenue par la course à l'échéance, nous devons agir quotidiennement. Imposer deux référendums sur les modèles suisse est la solution.
Plus loin encore ils deviennent une obligations face au restrictions de plus en plus nombreuses de se réunir et de se faire entendre. Sans compter les auto-restrictions par craintes de certains qui évitent les grands rassemblements.
Le référendum de rejet de loi , décret, arreté :
L'intérêt général est prôné par nos gouvernants. Qu'ils le prouvent !
Sur une population de 45 000 000 d'électeurs si 450 000 se révoltent (1%), il doit être normal de s'assurer de l'intérêt général de cette loi, décret, arreté. 1% de contradiction dans les 100 jours après le vote du texte doit imposer le renvoi à une expression nationale, régionale, départementale, communale selon le périmètre d'action.
Le référendum d'initiative populaire :
Par les associations, les "ateliers citoyens", les entreprises privées (startup, tpe, pme), la société civile n'a cessé d'essayer d'innover, de répondre aux besoins, de se réunir pour son quartier, sa ville, son département, sa région ou son pays. La principale faillite de ces actions est le pouvoir d'en haut. Lorsque 900 000 électeurs se retrouvent derrière une même idée, devons-nous passer à côté ? Dans cette autre situation, 2% d'électeurs sur un périmètre national, régional, département, communal proposent une action, celle-ci doit renvoyer à un référendum aux électeurs de ce même périmètre.
Ces référendums n'ont pas la vocation de destabiliser l'ordre déjà établit, ils seront le gage d'un arbitrage populaire plus imprégné. La fin d'une confiance quinquenale, la fin d'une politique imposée, éloignée et autocentrée. Ces référendums ne seront qu'une possibilité de plus d'agir selon les besoins par tous, pour tous et à tout moment.